
Philippe Boucher
« Je présenterai une douzaine de dessins à l’encre et une douzaine de tableaux en acrylique. Mes dessins sont réalisés sur papier Bristol blanc, format A4, à l’encre de Chine, appliquée avec stylos, feutres fins, plumes et pinceaux. Mon style s’approche de la bande dessinée en noir et blanc. Mes peintures sont toutes réalisées sur toile, en travaillant par superposition de couches successives. Je travaille sur des formats variés, du petit carré de 30 x 30 cm à des toiles d’un mètre de diagonale. Le style de mes peintures est généralement figuratif et semi-réaliste.
Le thème de cette exposition explore l’espace, la fantaisie et la science-fiction. Mon travail se situe à l’intersection de la logique et de l’imagination. Je travaille principalement avec de l’acrylique sur toile, un médium qui me permet de travailler rapidement, de prendre des risques, et de superposer ou d’effacer à mesure que j’avance.
Ma production actuelle se développe dans deux directions distinctes mais de plus en plus interconnectées : l’abstraction géométrique et le réalisme inspiré de l’espace. Au départ, ces deux approches coexistaient en parallèle, des abstractions précises et ordonnées, fondées sur la théorie des couleurs, et des scènes plus figuratives inspirées par la science-fiction et les sciences spatiales. Récemment, j’explore des façons de créer un pont entre les deux. Cette méthode hybride me permet d’expérimenter les contrastes, les valeurs et les nuances. Ma pratique est un espace personnel de curiosité et d’expérimentation, m’offrant un contrepoint au monde structuré et numérique dans lequel j’évolue professionnellement. Pour l’instant, mon intention est simple : partager ce que je crée. »
Le thème de cette exposition explore l’espace, la fantaisie et la science-fiction. Mon travail se situe à l’intersection de la logique et de l’imagination. Je travaille principalement avec de l’acrylique sur toile, un médium qui me permet de travailler rapidement, de prendre des risques, et de superposer ou d’effacer à mesure que j’avance.
Ma production actuelle se développe dans deux directions distinctes mais de plus en plus interconnectées : l’abstraction géométrique et le réalisme inspiré de l’espace. Au départ, ces deux approches coexistaient en parallèle, des abstractions précises et ordonnées, fondées sur la théorie des couleurs, et des scènes plus figuratives inspirées par la science-fiction et les sciences spatiales. Récemment, j’explore des façons de créer un pont entre les deux. Cette méthode hybride me permet d’expérimenter les contrastes, les valeurs et les nuances. Ma pratique est un espace personnel de curiosité et d’expérimentation, m’offrant un contrepoint au monde structuré et numérique dans lequel j’évolue professionnellement. Pour l’instant, mon intention est simple : partager ce que je crée. »

Eva Heymann
« Mon travail à l’aquarelle s’ancre dans une immersion profonde dans la nature. Cascades, forêts, sous-bois, brindilles oubliées, lézards furtifs, végétaux, volcans, tout devient prétexte à l’interprétation sensible. L’eau, ma complice, m’amène vers les formes parfois abstraites, des fulgurances inattendues. Les couleurs ne reproduisent pas, elles suggèrent, vibrent, traduisent une lumière une émotion, une présence.
Chaque œuvre est un instant suspendu, un dialogue entre le monde vivant et mon regard intérieur. Attachée aux petits formats pour leurs intimités, je me laisse aussi porter à l’occasion par l’élan des moyens formats, pour une plus grande liberté.
Chaque œuvre est un instant suspendu, un dialogue entre le monde vivant et mon regard intérieur. Attachée aux petits formats pour leurs intimités, je me laisse aussi porter à l’occasion par l’élan des moyens formats, pour une plus grande liberté.

Sylvia Fioramonti
Formée à l’Ecole Supérieure d’Art Visuel Genève, Sylviane est aujourd’hui comédienne et enseignante de théâtre et d’arts visuels. « Depuis quelques années, ma recherche picturale se concentre autour de la représentation du végétal. Interpeller la nature en improvisation est le champ de ma recherche. Cette expérimentation m’a ouvert un espace sur le motif, mêlant exploration du rythme, formes répétitives et abstraction. J’utilise l’encre de chine, ainsi que la gouache et les formats de mes travaux sont divers. Le fil rouge de cette exposition peut porter le titre : Chant et Résonance du Végétal. »
